L'envie et la dérision, Marche, courbé dans vos ruines, Ramassant la tradition. 2019 - Mareuil, Goupil, Au pays des contes (lectures pour le CE2). Crois à l’amour, toujours entier, Tu me parles du fond d'un rêve Comme une âme parle aux vivants. L’hiver, l’astre éteint-il sa flamme ? — Faut-il mourir ? Car ces derniers soldats de la dernière guerre Furent grands ; ils avaient vaincu toute la terre, Chassé vin… « Poésie », 1995, rééd. Les bateaux qui sur le Rhin voguentDans les sept arts endoctrinésPar les vieux sapins leurs aînésQui sont de grands poètes Découvrez nos superbes citations sur l'hiver et la saison hivernale en restant au chaud. ». Voici que la saison décline, L'ombre grandit, l'azur décroît, Le vent fraîchit sur la colline, L'oiseau frissonne, l'herbe a froid. La neige incertaine Le deuil de la nature Son œil plein de sang roule Les 9 poèmes sur Nature : Matin d'octobre. Ils sont petits et seuls, ces deux pieds dans la neige. Dans ton âme, où parfois je passe, Et balancent leurs ailes 5 déc. Aidez-nous en achetant une oeuvre dans notre galerie d'art ! Comme l'écume (continuer...) Catégories Victor Hugo, Amour, Condition humaine 48 commentaires À l’Arc de triomphe (extrait) II Oh ! Le texte proposé « L’expiation » est un poème extrait du recueil Les Châtiments de Victor Hugo. La nature est tout ce qu'on voit, Tout ce qu'on veut, tout ce qu'on aime. 2014 - Blog de bandes dessinées inspirées très, très librement, ou pas, de poèmes qu'il est préférable d'avoir lu au préalable. Victor Hugo • Un poème qui dénonce le travail des enfants Victor Hugo par Léon Bonnat, 1879. Le poème Notre vie a été écrit le jour de la mort de Nusch, sa compagne depuis 17 ans. A celle qui est voilée . Sois toujours grave et douce, ô toi que j'idolâtre ;
Que ton humble auréole éblouisse les yeux ! Mon amour toujours jeune est en fleur dans mon âme ; Ta beauté toujours jeune est en fleur sur ton front. Et l’indulgence pour autrui, Le rythme du poème est celui de la contemplation : « Les firmaments sont pleins de la … Pauvre cerf ! Tes jours aux méchants sont en proie. 2 oct. 2017 - Dans le cadre de l'étude des fables, voici le Loup et l'Agneau de Jean de La Fontaine, nouvelle poésie à apprendre sur la quinzaine à venir. Oeuvres poétiques. Ceux dont on parle ont eu votre âge, Mais le temps va rapidement : Comme le flot qui bat la plage, Les jours ainsi s’en vont montant. Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Je mis mes gens le long du mur, en tirailleurs. La neige joue avec l'air et le vent. Ne demeureDe la couleurQue les aiguilles des pinsQui tombent elles aussi plus dru parfois que la neige.Puis, vers le soir,Le fléau de la lumière s’immobilise.Les ombres et les rêves ont même poids.Un peu de ventÉcrit du bout du pied un mot hors du monde. Sabrina, Virginie et Hugues - CM2 février 2001 - La neige emplit le noir sillon. mais garde ton courage. Aux amoureux des rimes, de la langue et de la littérature pour publier leur poeme d'amour, citation, prose et s'inspirer aussi des grands poètes tel que Victor Hugo, Baudelaire et autres. Mon coeur s'ébat en odorant la rose. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Accueil; Sites Internet; Marketing digital; E-learning; Identité numérique; Formation et Conseils; Nous contacter; poème sur la mer victor hugo. POEME " VACHE "...AVEC " LA VACHE " de VICTOR HUGO... le Hom.art Bleu Opale, 03.L' ENVIRONNEMENT' ART..., 06.LE MOT' ART … 08 juil. La lumière est diminuée… Victor Hugo est élu à l'Académie Française en 1841 et Pair de France en 1845. On s’éclaire de ce qui brûle. 16 janv. Waterloo ! Comme des astrologues Jacqueline Mériot. La neige emplit le noir sillon. sur la neige je suis seule my friends are only six feet away we can talk across the yard or across the snow the virus hangs in the air for a moment, then drifts off the snowfield I'm scattered the world is upside down so I stand in the snow alone. Ne retire rien de ton âme ! Nature béatitude . Le coeur, c’est la sainte fenêtre. Le ciel est joli comme un ange. S4 : Écriture – Écrire un poème pour célébrer la neige. Très beau poème de Victor Hugo toujours d’actualité, en ce monde, tout n’est malheureusement géré par l’égoïsme ( la haine c’est un peu fort quand même^^ ) et l’amour reste et restera la seule chose digne d’intérêt s’y trouvant. Mais Dieu va rayonner peut-être ! « Poésie », 1960, p. 188. « Poésie », 1960, p. 188. C'est ton propre flambeau que tu viens de souffler ! La neige couvre les chemins; Enfants, venez, la nuit est sombre, Au foyer réchauffez vos mains. L'hiver blanchit le dur chemin Tes jours aux méchants sont en proie. Petite étude du poème Elle était déchaussée de Victor Hugo - L'invitation lyrique à l'amour Attention : ne pas écrire les titres ! *moelle de diamant*neiges du Harfang aux iris jaunes d’oret ventre blanc pur de la Panthère des neiges*de quel oiseau fléché fuyant à travers cielce pointillé de sang sur la neige vierge ? […] ». Que rien ne tombe ou ne recule. 2590 La poésie classique de Victor Hugo : Nos morts à lire ou relire. 5 avr. at a distance. 18 déc. De quelque ombrage obscur. En 1812, Napoléon 1 er, piégé par l’hiver retourne sur Paris, malgré sa victoire.En quoi ce poème traduit-il une dimension épique ? Lorsque sa fille par la mort lui as été ravie. Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ? Faites un petit effort et lisez le poème jusqu’au bout. Il rayonne ! Repost 0. Victor Hugo (inscription complète sur son acte de naissance : Victor, Marie Hugo1), né le 26 février 1802 à Besançon et mort le 22 mai. Dieu ne retire rien du ciel ; Ceux dont on parle ont eu votre âge, Mais le temps va rapidement : Comme le flot qui bat la plage, Les jours ainsi s’en vont montant. S5 : Histoire des arts / écriture – Nuit étoilée de Vincent Van Gogh + le calligramme « Le ciel, la nuit, l’été » de Guillaume Apollinaire. Hugo a du souffle. Mais tu viens de tuer le rayon de ton âme ! - Thich Nhat Hanh. Aux longues branches langoureusesLes sapins beaux musiciensChantent des noëls anciens des héros Dieu trompait l’espérance Tu désertais, victoire, et le sort était las. Magnifique texte ! Il a neigé dans l’aube rose Si doucement neigé, Que le chaton croit rêver. Et pendant que vous êtes sages Prenez ce livre et ces images, Ce sont des souvenirs lointains. morne plaine ! « Première neige tôt ce matin. Découvrez vos propres épingles sur Pinterest et enregistrez-les. Sur la musique du silence Dansent, dansent les flocons blancs Qui se balancent Et qui s’en vont Tisser une douce couverture Pour la terre qui s’endort Sur la musique du silence Dansent, dansent les flocons blancs. Waterloo ! 2007, p. 111. L'hiver la neige tombe La neige est douce sur mon toit Le Canada Le froid Le pôle Nord Le printemps s'en va Les flocons tombent Mon pays, l'hiver Nuit de neige Oh que la vie est dure Par la fenêtre Perles gelées Presque froid Quand je marche dans la neige Quand la pluie déferle Quand tombe la neige Tout est gelé Une merveilleuse nuit [ DC Voltaire à l'âge de 41 ans, d'après Maurice Quentin-Latour, Musée Antoine Lécuyer, Wikipédia CC. Et pendant que vous êtes sages Prenez ce livre et ces images, Ce sont des souvenirs lointains. Paris, Gallimard, coll. Victor HUGO a tout fait. une fois que tu sauras entrer en contact avec la Terre. rendu boueux par la pluie, ou pris sous une couche de neige glacée. Qui sait comment leur sort à notre sort se mêle ? poème sur les saisons de jacques prévert. Et chacun se berçait de la chance peu sûre. Emile Verhaeren. Masque de neige sur la terre et sous la terre Sources des larmes dans la nuit masque d'aveugle Mon passé se dissout je fais place au silence. Après le grand froid le soleil, Après la neige Laissez-moi !" Commentaire littéraire I. et tu verras. La nature, en son sein de mère,N'a plus de lait pour le nourrir.Arsène HoussayeIl a neigéIl a neigé dans l'aube roseSi doucement neigé,Que le chaton croit rêver.C'est à peine s'il oseMarcher.Il a neigé dans l'aube roseSi doucement neigé,Que les chosesSemblent avoir changé.Et le chaton noir n'oseS'aventurer dans le verger,Se sentant soudain étrangerÀ cette blancheur où se posent,Comme pour le narguer,Des moineaux effrontés. Poètes. Description de la rubrique : Tous sélectionnés parmi les plus grands classiques de la poésie de langue française, voici 7 poèmes sur le thème de la Neige. A mes frères aînés, écoliers éblouis, Ce qui suit fut conté par mon oncle ... D'hommes sur qui la bombe, ainsi qu'une cognée, Va s'acharner ; et j'eusse aimé mieux être ailleurs. Huile sur toile 97DE17164/MV 7383 Un Martyr ou Le Petit marchand de violettes de Fernand Pelez Huile sur toile. La neige blanche chante avec le ciel et les nuages. Saint-John Perse, Neiges, dans Éloges, suivi de La Gloire des Rois, Anabase, Exil, Paris, Gallimard, coll. pour mes regards moroses,Avides de revoir le vieil aspect des choses,Tout surgissait nouveau du sol désengouffré.Soudain, au creux d'un ravin noir,Un soupçon de neige fit voirSa tache pâle, si peureuseQue je me figurai, songeur,Un dernier frisson de blancheurAu fond d'une âme ténébreuse !Maurice RollinatLe premier givreL'hiver est sorti de sa tombe,Son linceul blanchit le vallon ; Le dernier feuillage qui tombeEst balayé par l'aquilon.Nichés dans le tronc d'un vieux saule,Les hiboux aiguisent leur bec ; Le bûcheron sur son épauleEmporte un fagot de bois sec.La linotte a fui l'aubépine,Le merle n'a plus un rameau ; Le moineau va crier famineDevant les vitres du hameau.Le givre que sème la biseArgente les bords du chemin ; À l'horizon la nue est grise : C'est de la neige pour demain.Une femme de triste mineS'agenouille seule au lavoir ; Un troupeau frileux s'achemineEn ruminant vers l'abreuvoir.Dans cette agreste solitude,La mère, agitant son fuseau,Regarde avec inquiétudeL'enfant qui dort dans le berceau.Par ses croassements funèbresLe corbeau vient semer l'effroi,Le temps passe dans les ténèbres,Le pauvre a faim, le pauvre a froidEt la bise, encor plus amère,Souffle la mort. Tout ce qu’ils t’ont vomi de haine. Jean Froissart; Pour connaître la rose, quelqu'un emploie la géométrie et un autre emploie le papillon. Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Ferme ta vitre à la nuée ! Victor Hugo, c’est l’amour sur l’humanité toute entière. Liste des citations de Victor Hugo sur vieillesse classées par thématique. Tout ce quâ on sait, tout ce quâ on croit, Tout ce que lâ on sent en soi-même. Texte de Victor Hugo, ''A qui la faute ?'' Victor Hugo s'appuie sur le fait que personne n'a vu ou connu l'origine de l'univers, ce qui autorise l'hypothèse ou la croyance selon laquelle l'univers est une création divine. (Page 3) Et ceux-là seuls en surent quelque chose, dont la mémoire est incertaine et le récit est aberrant. bois couronnés d’un reste de verdure ! Le poète évoque en 1830 une scène de son adolescence et porte un regard distant et amusé sur sa naïveté. 2017 Devant la blanche ferme, où parfois vers midi . Qu'importe l'an qui passe et ceux qui passeront ! Très beau poème de Victor Hugo toujours d’actualité, en ce monde, tout n’est malheureusement géré par l’égoïsme ( la haine c’est un peu fort quand même^^ ) et l’amour reste et restera la seule chose digne d’intérêt s’y trouvant. Waterloo ! 9 avr. Le mot – Victor Hugo Tout peut sortir d’un mot qu’en passant vous perdîtes ; TOUT, la haine et le deuil ! Posé sur la rambarde pour venir me chanter. Les enfants, émerveillés, rêvent en regardant par la fenêtre Quand seul dans un ciel pâle un peuplier s’élance, Quand sous le manteau blanc qui vient de le cacher L’immobile corbeau sur l’arbre se balance, Comme la girouette au bout du long clocher ! Vois-tu, je sais que tu m'attends. Eponge des fautes lavées. je l’aurai pris s’il n’était pas aussi long. Poemes est dédié à la poésie française et mondiale et à la citation avec plus de 22000 poèmes classiques, biographies et citations. J'entendait ses crissements résonner sous mes pieds, comme une créature géante mâchant soigneusement la proie qu'elle vient de capturer. Poème La Statue de Victor Hugo. Toute cette lumière, C'est à toi comprends donc, et c'est toi qui l'éteins ! Le poème "La polissonnerie", dont le texte est rapporté ci-dessous, est donc à la fois une exception et un hommage libre aux relations amoureuses, fussent-elles parfois contrariées. Je suis un adolescent, et pourtant, je lis des poèmes de temps en temps… »Seigneur, vous avez proposé la neige de votre paix au monde divisé, à l’Europe diviséeÀ l’Espagne déchirée et le Rebelle juif et catholique a tiré ses mille quatre cents canons contre les montagnes de votre Paix.Seigneur, j’ai accepté votre froid blanc qui brûle plus que le sel.Voici que mon cœur fond comme neige sous le soleil.J’oublieLes mains blanches qui tirèrent les coups de fusils qui croulèrent les empires Les mains qui flagellèrent les esclaves qui vous flagellèrentLes mains blanches poudreuses qui vous giflèrent, les mains peintes poudrées qui m’ont gifléLes mains sûres qui m’ont livré à la solitude à la haineLes mains blanches qui abattirent la forêt de rôniers qui dominait l’Afrique,au centre de l’AfriqueDroits et durs, les Saras beaux comme les premiers hommes qui sortirent de vos mains brunes.Elles abattirent la forêt noire pour en faire des traverses de chemin de ferElles abattirent les forêts d’Afrique pour sauver la Civilisation, parce qu’on manquait de matière première humaine.Seigneur, je ne sortirai pas ma réserve de haine, je le sais, pour les diplomates qui montrent leurs canines longues Et qui demain troqueront la chair noire.Mon cœur, Seigneur, s’est fondu comme neige sur les toits de ParisAu soleil de votre douceurIl est doux à mes ennemis, à mes frères aux mains blanches sans neigeÀ cause aussi des mains de rosée, le soir, le long de mes joues brûlantes. « Poésie », 1995, rééd. A l’amour, tison du foyer ! Un peu de neige sur les sommets environnants, cette nuit et un thermomètre qui s'effondre, ce soir: Ah, qu'on est bien chez soi, au chaud ! le bruit désemmuré ! Qui chantent les transports de l’esprit et des sens. 5 févr. Veille mon cœur, La neige nous met en selle Sur des coursiers d'écume. Afficher/masquer la navigation. Janvier est revenu, poème de Victor Hugo (Dernière gerbe) : Janvier est revenu. Explorer. *regardez, par-delàcette grille givréed’innocentes herminesdorment tout de leur longsur les bras des croix*alors qu’à l’intérieur l’enfantle front appuyé à la vitrepour jouerfait de la buée,dehors chaque floconéclate une petite larmequi rouleen basdu carreauoù le mastic est vieux comme la maison*Ettout là-bas(à l’heure de mon cœur qui bat tout bas)quelqu’uncontemplela rencontre de la neigefloconneuse, innombrableavec la merformidable, commede plomb,glauque*, Henri Pichette, 1955, Odes à chacun, Éditions Gallimard (Poésie), 1988NeigeLa neige nous met en rêveSur de vastes plaines,Sans traces ni couleur.Veille mon cœur,La neige nous met en selleSur des coursiers d’écume.Sonne l’enfance couronnée,La neige nous sacre en haute-mer,Plein songe,Toute voile dehors.La neige nous met en magie.Blancheur étale.Plumes gonfléesOù perce l’œil de cet oiseau.Mon cœur ; Trait de feu sous des palmes de gelFille de sang qui m’émerveille.Anne Hébert, Mystère de la parole, 1960La blanche neigeLes anges les anges dans le cielL’un est vêtu en officierL’un est vêtu en cuisinierEt les autres chantentBel officier couleur du cielLe doux printemps longtemps après NoëlTe médaillera d’un beau soleilD’un beau soleilLe cuisinier plume les oiesAh ! tombe neigeTombe et que n’ai-jeMa bien-aimée entre mes brasGuillaume Apollinaire, Alcools, 1913. Crime commis par toi contre toi-même, infâme ! On s'agite, on crie, on s'assiège.Et puis on rentre, le nez bleu,Pour se sécher autour du feu.Lucie Delarue-Mardrus, « Poèmes mignons pour les enfants » - Gedalge, 1929, Les sapinsLes sapins en bonnets pointus Si ce choix ne correspond pas à votre attente, utilisez notre moteur de recherche interne afin d'effectuer une recherche plus personnalisée en sélectionnant le mot : Neige, avec d'autres mots ! Merci VH. Dessiner le monde, dessiner des mots. L’ocre, le vert. Ces … Août contre septembre lutte ; L'océan n'a plus d'alcyon ; Chaque jour perd une minute, Chaque aurore pleure un rayon. Et les cieux bleus, enfin ! Et sur la neige on voit se suivre Les pas étoilés des oiseaux. Home; ABOUT; Contact Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. La grande plaine est blanche, immobile et sans voix. Découvrez vos propres épingles sur Pinterest et enregistrez-les. Mais il est vrai que celui-ci est assez long (comme la plupart des poèmes de Victor Hugo que j’ai lu d’ailleurs). Ça tombe à point avec l’hiver présent et la haine, oui la haine, ou du moins le mépris ambiant. Partager cette page. Je viens de voir les prévisions météo et l'hiver arrive ! Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine, Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons, La pâle mort mêlait les sombres bataillons. Biographie. Paul Eluard, Le Temps déborde (1947) Lecture analytique du poème. Doute de l’homme plein d’envie ; Biographie de Victor Hugo. « Et puis vinrent les neiges, les premières neiges de l’absence, sur les grands lés tissés du songe et du réel ; et toute peine remise aux hommes de mémoire, il y eut une fraîcheur de linge à nos tempes. Elle est belle pour qui la voit, Elle est bonne à celui qui lâ aime, Elle est juste quand on y croit. La haine souffle sur ta joie. Quand la neige est épaisse et charge un sol glacé ! Par cet apprentissage, les élèves se confrontent à de nouvelles tournures de phrases qui les … Fais de ton amour ton flambeau. LA NEIGE. Les champs obligatoires sont indiqués avec *. Pour les 2 autres commentaires, maintenant c’est vrai il faut des textes de 5 lignes ou 3 mots abrégés en langage sms sinon on perd le fil … affligeant. Comme cet arbre là-bas, les fleurs et les feuilles de ton âme. Et ce fut au matin, sous le sel gris de l’aube, un peu avant la sixième heure, comme en un havre de fortune, un lieu de grâce et de merci où licencier l’essaim des grandes odes du silence.Et toute la nuit, à notre insu, sous ce haut fait de plume, portant très haut vestige et charge d’âmes, les hautes villes de pierre ponce forées d’insectes lumineux n’avaient cessé de croître et d’exceller, dans l’oubli de leur poids. La neige accumulée sur la place, aussi douce que de la mousse, aspirait complètement mes pas. De plus, ce poème présente un rythme plutôt lent, ce qui nous permet de nous laisser le temps de contempler l'univers. La haine, c’est l’hiver du coeur. Ces doux êtres pensifs, que la fièvre maigrit ? Le soleil de brume est couvert ; Long mais jolie pour celui qui aime la poésie. Garde ton amour éternel. https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_compositions_by_Jules_Massenet Oppose ta douceur sereine, https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_compositions_by_Jules_Massenet 2017 - Vers de la poésie Une histoire à suivre : Après tout ce blanc vient le vert, le printemps vient après l’hiver. Il n’a pas la fulgurance d’un sonnet de Nerval, Baudelaire, Rimbaud ou Mallarmée. C’est le poète aux plaisirs simples. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Et ce fut au matin, sous le sel gris de l’aube, un peu avant la sixième heure, comme en un havre de fortune, un lieu de grâce et de merci où licencier l’essaim des grandes odes du silence. Citations. Paris, Gallimard, coll. Retrouvez le poème Horror de Victor Hugo extrait du recueil de poésie Les Contemplations en pdf, ebook, livre audio, vidéo, écoute, lecture libre, texte gratuit et images à télécharger ainsi qu’un résumé et une analyse. Victor Hugo compare le froid de la neige, la violence du mordant de cette saison à la dureté des coeurs qui n'aiment plus. Toute idée, humaine ou divine, Qui prend le passé pour racine A pour feuillage l'avenir. Aime, et ne désespère pas. " PEPITA " poème de Victor HUGO mis en musique par Alain ARMEL. Documents relatifs. Août contre septembre lutte ; L'océan n'a plus d'alcyon ; Chaque jour perd une minute, C'est donc un drame personnel qui a été à l'origine de l'inspiration … Paris est la cité mère ! 2016 - Enjoy the videos and music you love, upload original content, and share it all with friends, family, and the world on YouTube. 29 déc. 2014 - Cette épingle a été découverte par girlgeek101 -. A l’amour, rayon des étoiles ! la terrible nuit pour les petits oiseaux !Un vent glacé frissonne et court par les allées ;Eux, n'ayant plus l'asile ombragé des berceaux,Ne peuvent pas dormir sur leurs pattes gelées.Dans les grands arbres nus que couvre le verglasIls sont là, tout tremblants, sans rien qui les protège ;De leur œil inquiet ils regardent la neige,Attendant jusqu'au jour la nuit qui ne vient pas.Guy de MaupassantChanson pour les enfants l’hiver, Dans la nuit de l’hivergalope un grand homme blancgalope un grand homme blancC’est un bonhomme de neigeavec une pipe en bois,un grand bonhomme de neigepoursuivi par le froidIl arrive au villageIl arrive au villagevoyant de la lumièrele voilà rassuré.Dans une petite maisonil entre sans frapperDans une petite maisonil entre sans frapperet pour se réchaufferet pour se réchauffers’assoit sur le poêle rougeet d’un coup disparaîtne laissant que sa pipeau milieu d’une flaque d’eaune laissant que sa pipeet puis son vieux chapeau…, (attention aux versions de ce poème qui traînent sur l’internet, sans les répétitions de vers, et avec une ponctuation qui n’a jamais existé), Le printemps reviendraHé oui, je sais bien qu'il fait froid,Que le ciel est tout de travers ;Je sais que ni la primevèreNi l'agneau ne sont encor là.La terre tourne ; il reviendra,Le printemps, sur son cheval vert.Que ferait le bois sans pivert,Le petit jardin sans lilas ?Oui, tout passe, même l'hiver,Je le sais par mon petit doigtQue je garde toujours en l'air…, Maurice Carême (1899-1978) - « En Sourdine » (1964). Et c’est l’oiseau blessé en son coeur et qui ne vole plus dans un ciel bleu ou vers les plus hautes azurs. –pour les peines que nous avons par vous souffertes.Émile VerhaerenEn hiverLe sol trempé se gerce aux froidures premières,La neige blanche essaime au loin ses duvets blancs,Et met, au bord des toits et des chaumes branlants,Des coussinets de laine irisés de lumières.Passent dans les champs nus les plaintes coutumières,À travers le désert des silences dolents,Où de grands corbeaux lourds abattent leurs vols lentsEt s’en viennent de faim rôder près des chaumières.Mais depuis que le ciel de gris s’était couvert,Dans la ferme riait une gaieté d’hiver,On s’assemblait en rond autour du foyer rouge,Et l’amour s’éveillait, le soir, de gars à gouge,Au bouillonnement gras et siffleur, du brassinQui grouillait, comme un ventre, en son chaudron d’airain.Émile VerhaerenLa neige à travers la brumeLa neige à travers la brumeTombe et tapisse sans bruitLe chemin creux qui conduitÀ l'église où l'on allumePour la messe de minuit.Londres sombre flambe et fume ;La chère qui s'y cuitEt la boisson qui s'ensuit !C'est Christmas et sa coutumeDe minuit jusqu'à minuit.Sur la plume et le bitume,Paris bruit et jouit.Ripaille et Plaisant déduitSur le bitume et la plumeS'exaspèrent dès minuit.Le malade en l'amertumeDe l'hospice où le poursuitUn espoir toujours détruitS'épouvante et se consumeDans le noir d'un long minuit…La cloche au son clair d'enclumeDans la cour fine qui luit,Loin du péché qui nous nuit,Nous appelle en grand costumeÀ la messe de minuit.Ce doux hiver qui égale ses joursCe doux hiver qui égale ses joursÀ un printemps, tant il est aimable,Bien qu’il soit beau, ne m’est pas agréable,J’en crains la queue, et le succès toujours.J’ai bien appris que les chaudes amours,Qui au premier vous servent une tablePleine de sucre et de mets délectable,Gardent au fruit leur amer et leurs tours.Je vois déjà les arbres qui boutonnentEn mille nœuds, et ses beautés m’étonnent,En une nuit ce printemps est glacé,Ainsi l’amour qui trop serein s’avance,Nous rit, nous ouvre une belle apparence,Est né bien tôt bien tôt effacé.Théodore Agrippa d’AubignéFrisson d’hiverLes becs de gaz sont presque clos :Chauffe mon cœur dont les sanglotsS’épanchent dans ton cœur par flots,Gretchen !Comme il te dit de mornes choses,Ce clavecin de mes névroses,Rythmant le deuil hâtif des roses,Gretchen !Prends-moi le front, prends-moi les mains,Toi, mon trésor de rêves maintsSur les juvéniles chemins,Gretchen !Quand le givre qui s’éterniseHivernalement s’harmoniseAux vieilles glaces de Venise,Gretchen !Et que nos deux gros chats persansMontrent des yeux reconnaissantsPrès de l’âtre aux feux bruissants,Gretchen !Et qu’au frisson de la veillée,S’élance en tendresse affoléeVers toi mon âme inconsolée,Gretchen !Chauffe mon cœur, dont les sanglotsS’épanchent dans ton cœur par flots.Les becs de gaz sont presque clos…Gretchen !Émile NelliganFantaisies d’hiverILe nez rouge, la face blême,Sur un pupitre de glaçons,L’Hiver exécute son thèmeDans le quatuor des saisons.Il chante d’une voix peu sûreDes airs vieillots et chevrotants ;Son pied glacé bat la mesureEt la semelle en même temps ;Et comme Haendel, dont la perruquePerdait sa farine en tremblant,Il fait envoler de sa nuqueLa neige qui la poudre à blanc.IIDans le bassin des Tuileries,Le cygne s’est pris en nageant,Et les arbres, comme aux féeries,Sont en filigrane d’argent.Les vases ont des fleurs de givre,Sous la charmille aux blancs réseaux ;Et sur la neige on voit se suivreLes pas étoilés des oiseaux.Au piédestal où, court-vêtue,Vénus coudoyait Phocion,L’Hiver a posé pour statueLa Frileuse de Clodion.IIILes femmes passent sous les arbresEn martre, hermine et menu-vair,Et les déesses, frileux marbres,Ont pris aussi l’habit d’hiver.La Vénus AnadyomèneEst en pelisse à capuchon ;Flore, que la brise malmène,Plonge ses mains dans son manchon.Et pour la saison, les bergèresDe Coysevox et de Coustou,Trouvant leurs écharpes légères,Ont des boas autour du cou.IVSur la mode ParisienneLe Nord pose ses manteaux lourds,Comme sur une AthénienneUn Scythe étendrait sa peau d’ours.Partout se mélange aux paruresDont Palmyre habille l’Hiver,Le faste russe des fourruresQue parfume le vétyver.Et le Plaisir rit dans l’alcôveQuand, au milieu des Amours nus,Des poils roux d’une bête fauveSort le torse blanc de Vénus.VSous le voile qui vous protège,Défiant les regards jaloux,Si vous sortez par cette neige,Redoutez vos pieds andalous ;La neige saisit comme un mouleL’empreinte de ce pied mignonQui, sur le tapis blanc qu’il foule,Signe, à chaque pas, votre nom.Ainsi guidé, l’époux morosePeut parvenir au nid cachéOù, de froid la joue encor rose,À l’Amour s’enlace Psyché.Théophile Gautier, Émaux et caméesLa tache blancheDure au mordant soleil, longtemps épanouieAux grands effluves lourds et tièdes du vent plat,La neige, ayant enfin fléchi, perdu l'éclat,Venait de consommer sa fonte sous la pluie.L'espace détendu !
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